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Dernière mise à jour : novembre 2018
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Le parc résidentiel belge.

L’habitation classique du parc résidentiel belge est caractérisée par un coefficient d’isolation K100. Cette catégorie de logements consomme pour ses besoins de chauffage l’équivalent de plus 30 litres de mazout/m²/an (ou 30 m³ de gaz naturel/m²/an ou 300 KWh/m²/an).

 




 

 

 

En cause ? Des lacunes de construction issues de règlementations peu sévères et, de plus, souvent non respectées

Le parc résidentiel belge est composé à 80% de logements âgés de 20 ans ou plus or, et jusqu'il y a peu, les méthodes de construction de maisons étaient basées sur une règlementation thermique réellement dépassée; les normes d'isolation effectives étaient vraiment insuffisantes et il n'existait aucune obligation en matière de flux d'air.

 

De plus, cette règlementation, bien que peu exigeante, n'était pas toujours appliquée dans de nombreux bâtiments construits. Alors à qui la faute ? En gros, à la plupart des intervenants mais surtout au manque de contrôle. Il est évident que pour concrétiser les exigences imposées, il était indispensable de disposer d'un cadre cohérent de contrôle de qualité, ce qui n'était pas le cas à l'époque.

 

Par ailleurs, les investissements réalisés lors de travaux de rénovation sont encore de rentabilité énergétique insuffisante.

 

 

 

 

Conception : pb web concept

 

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